GENEVE- Plusieurs pays participant aux travaux de la 52e session du Conseil des droits de l’Homme des Nations unies, à Genève (Suisse), ont réaffirmé leur ferme soutien au droit du peuple sahraoui à l’autodétermination et à l’indépendance.
Dans ce contexte, l’Afrique du Sud a souligné son «ferme soutien» à la lutte du peuple sahraoui pour son droit à l’autodétermination et à la liberté, et insisté sur la nécessité de «travailler ensemble» pour protéger les droits de l’Homme dans la partie occupée du Sahara occidental.
Pretoria a, en outre, réaffirmé son «ferme rejet» de la répression sous toutes ses formes menée par les autorités de l’occupation marocaine contre les civils sahraouis.
La Namibie a, elle aussi, réaffirmé son «soutien total» au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination conformément aux résolutions et chartes internationales, appelant le Conseil des droits de l’Homme à «prendre des mesures pour protéger les droits collectifs et individuels du peuple sahraoui et faire face aux actes atroces et inhumains perpétrés par les autorités d’occupation marocaines dans les territoires occupés».
De son côté, Timor-Leste a attiré l’attention du Conseil des droits de l’Homme sur la situation tragique dans laquelle vit le peuple sahraoui dans les territoires occupés et sur la poursuite des violations marocaines des droits de l’Homme à l’égard des civils sahraouis, ainsi que sur l’échec de la communauté internationale dans ses efforts visant à trouver une solution politique au conflit sahraoui garantissant au peuple sahraoui le droit à l’autodétermination, à l’indépendance et à la liberté et mettant fin à l’occupation marocaine conformément à la charte des Nations unies.