Par Kamel M. – Une fois de plus, le nom de Rachida Dati surgit à la une de l’actualité judiciaire française. Perquisitions à son domicile, au ministère de la Culture et à la mairie du 7e arrondissement de Paris. Le symbole est fort, presque spectaculaire. Et pourtant, comme à chaque nouvel épisode, une étrange impression de déjà-vu domine. Les preuves s’accumulent, les enquêtes s’ouvrent, les mots sont lourds – corruption active et passive, trafic d’influence, détournement de fonds publics, blanchiment – mais la carrière politique de la taupe de Mohammed VI à Paris suit son cours, imperturbable.
L’information judiciaire ouverte ce 14 octobre vise des faits remontant à l’époque où Rachida Dati était députée européenne. Elle est accusée d’avoir perçu 299 000 euros d’honoraires de GDF Suez, via un montage financier complexe, sans en déclarer la provenance au Parlement européen. Deux virements de 149 500 euros, transitant par un cabinet d’avocats, ont alimenté ce système opaque. L’intéressée a beau nier, plusieurs éléments matériels – annotations manuscrites, mentions comptables explicites – viennent fragiliser sa ligne de défense.
Ce nouvel épisode ne tombe pas de nulle part. (…)
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