Effets des attaques de drones sur les populations civiles Les crimes contre l’humanité du Maroc dûment établies et documentées !
Le Maroc est le docile disciple de ses mentors israéliens. Comme ces derniers le font à très grande échelle à Gaza, il assassine lui aussi sans vergogne, en ignorant les lois ayant cours en matière de confrontation armée. Ses crimes de guerre et crimes contre l’humanité sont ainsi dûment prouvés er documentés dans ce document d’une vingtaine de pages dont nous avons obtenu copie en exclusivité.
Dans ce document accablant élaboré par l’association « Sahraoui mine action coordination office », (SMACO), tout y passe sous la forme d’une littérature chiffrée et concentrée. Des podcasts avec des graphiques et des chiffres s’offrent à nos yeux, qui placent résolument le Maroc au banc des accusés. Il assassine délibérément des civils, et se livre à un véritable terrorisme d’Etat. Il a, ce faisant, transformé les territoires libérés en un no mans land depuis la reprise du conflit armé entre son armée coloniale et le front Polisario en date du 13 novembre 2020, lorsqu’il a attaqué la zone tampon d’El Guerguera, rompant ainsi de manière unilatérale le cessez-le-feu de 1991 conclu sous l’égide de l’ONU et de l’ex-OUA. 3Le conflit s’est intensifiéavec l’utilisation de drones militaires avancés fournis par Israël, la Turquie et la Chine. Cette guerre des drones a conduit à un impact important ? augmentation des victimes civiles, avec des attaques ciblant principalement les civils, les infrastructures et sites d’extraction d’or. Les attaques, caractérisées par leur caractère aveugle, ont provoqué d’importantes pertes matérielles et sociétales perturbation. Les victimes, majoritairement sahraouies, Les ressortissants mauritaniens et algériens, font face difficultés à recevoir une assistance médicale et l’évacuation en raison de l’éloignement des attaques. De plus, l’utilisation d’armes thermobariques contre des cibles civiles a entraîné de graves blessures et des décès. Les effets secondaires du conflit comprennent difficultés économiques, perte des moyens de subsistance et déplacement de la population affectée ».
160 victimes civiles ont été recensées, dont 80 décès !
Outre ce terrorisme d’Etat marocain, dûment prouvé et documenté, les assassinats délibérés de civils sahraouis, mauritaniens et algériens, ont eu des conséquences désastreuses sur l’économie pastorale de cette région, basée sur le nomadisme, où toute forme de vie a été proscrite à cause de ces drones tueurs. « Ce rapport traite exclusivement de 73 drones marocains ayant opéré des attaques contre des civils qui ont eu lieu pendant la années 2021, 2022 et 2023 dans les territoires libérés ». Le rapport parle ainsi de 160 victimes civiles recensées, dont 80 décès de différentes nationalités : il s’agit de nationalités sahraouie, mauritanienne et même algérienne. Alger avait même dû élever de véhémentes protestations après l’assassinat délibéré de ses camionneurs à Bir Lahlou, assurant que ce terrorisme d’Eta innommable ne va pas rester impuni. Le rapport, qui touche du doigt la technologie avancée des drone dont est munie l’armé marocaine, relève que Washington a permis ce transfert de technologie depuis le deal du siècle et la trahison par le Makhzen de la cause palestinienne. Le Maroc est ainsi le seul pays arabo-musulman à jouir de technologies militaires aussi avancée. Lui, comme ses maitres et mentors israéliens, s’en servent pour assassiner des civils, terroriser et intimider, en comptant sur leur impunité, telle que garantie par la France et les USA au niveau di conseil de sécurité de l’ONU. « Le 17 septembre 2021, le Maroc a reçu son premier lot de drones turcs « Bayraktar TB2 ». En novembre 2021, au moins 19 civils ont été tués par des bombardements de drones. Les victimes étaient de Nationalités sahraouie, algérienne et mauritanienne. Le journal britannique The Guardian révélait le 1er juillet 2016 que l’administration du président Obama des États-Unis a tué environ 116.000 civils en Afghanistan, en Somalie, Yémen et Pakistan au cours de ses deux mandats. La proportion demeure à peu près pareille au regard de l’échelle du temps et de le densité de population au Sahara Occidental. Elle grimpe toutefois en flèche quand on bifurque vers la Palestine. « Les drones sont équipés de technologies avancées pour la détection de cibles, notamment par satellite systèmes, capteurs, rayons infrarouges et caméras. Cela permet à ces avions d’identifier et fournir des informations détaillées sur tout type de cible, quelle que soit sa nature, à tout moment de jour comme de nuit et dans une plage de 360 degrés ». Cela rend impossible toute erreur dans ces assassinats terroriste. L’armée marocaine tue des civils délibérément, forts qu’elle est de son impunité.
L’Espagne au banc des accusés en permettant les vols de drones tueurs dans un espace aérien placé sous son contrôle
« SMACO a analysé la nature de ces opérations pour déterminer les effets de ces armes sur la population civile à l’est du mur. Au cours de la période d’étude de 2021, 2022 et 2023, la proportion d’attaques était de 45 % en 2021, 41,73% en 2022 et 13,27% en 2023. Novembre a été le mois où les attaques ont été les plus importantes au cours des trois dernières années. Ce mois-ci connaît le plus grand nombre d’attaques, avec environ 38, représentant 52,7 % du total des attaques, tandis que mai et juin ont connu le moins d’attaques. Les mois d’hiver sont plus violents en termes d’attaques, indiquant une nette différence avec les mois d’été. Après avoir examiné et évalué les spécificités de ces frappes en termes de calendrier et de lieu, il Il est évident que l’armée marocaine a étendu la portée de ses drones militaire pour des objectifs qui vont bien au-delà des cibles militaires. Selon la dernière mise à jour des données, 45,20% des attaques ont eu lieu dans le nord du pays ». La volonté de terroriser et d’intimider, en assassinat des civils sans défense, est donc prouvée et dûment documentée. ce qui constitue une violation flagrante des droits humains fondamentaux et de la Charte des Nations Unies, pour citer des exemples : 1. Toutes ces frappes se sont produites dans des régions désertiques ouvertes et arides, sans feuillage, ce qui en fait simple pour confirmer les couleurs et les formes des voitures ainsi que les effets personnels des victimes et la capacité de faire la distinction entre les cibles militaires et civiles. 2. Contrairement aux accusations portées par les États-Unis concernant leurs frappes de drones. Dans ce scénario, il n’y a pas de victime accusée de terrorisme ou recherchée armées ou portant des tenues militaires. Pis encore, « Les attaques ont eu lieu dans des zones situées à des dizaines de kilomètres du mur marocain. Cela signifie que les victimes ne représentaient aucune menace pour les forces marocaines, car les forces les plus proches La cible civile du mur bombardé est un site d’exploration aurifère dans la région de Gleibat El-Fula. Le site est situé au milieu de terres désertiques, à environ 18 km de la frontière marocaine. Les points les plus éloignés attaqués se situent dans deux zones frontalières : Ain Bentili au nord (86 km) et Ahfir au sud (100 km). Cela montre que les victimes ont fait ne représentent aucune menace pour les forces d’occupation marocaines. Il est clair que ces civils ne constituent pas une menace pour l’armée marocaine et ne sont pas à proximité zones de conflits militaires. Ceci est corroboré par le fait qu’environ 65 % des attaques récentes se sont déroulées directement sur ou à proximité des frontières internationales. La répartition par âge des victimes par sexe révèle que 94,47% sont des hommes, tandis que 5,59% sont des hommes. En termes d’âge, 96,1% sont des adultes, tandis que 2,4% sont des enfants parmi le total. victimes. La majorité des victimes ont moins de 40 ans.
Pour finir, nous reproduisons intégralement en encadré les conclusions et recommandations de cet accablant rapport.
El Ghayeb Lamine
La Croix, Lundi 27 Mai 2024 pic.twitter.com/ZKNUlGXU5c
— Oubi Bouchraya (@oubibachir) May 27, 2024
CONCLUSIONS ET RECOMMENDATIONS
A. Les parties prenantes doivent exiger que le Maroc cesse immédiatement de tuer des civils, que ce soit avec des drones ou de l’artillerie et respecter les normes du droit international des droits de l’homme et le droit international humanitaire dans les futures opérations militaires
B. Mettre en place un mécanisme national efficace pour surveiller et suivre les drones marocains attaques, créer une base de données documentant ces attaques et travailler pour fournir soutien sanitaire, psychologique et économique aux victimes et à leurs familles.
C. Les organisations internationales compétentes, y compris le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), devrait mener des actions rapides, indépendantes, impartiales, globales et des enquêtes transparentes sur toutes les allégations crédibles de victimes civiles dans les opérations aériennes attaques et autres opérations militaires sur le territoire sahraoui, ainsi que prendre des mesures faciliter l’évacuation des victimes et leur fournir l’assistance nécessaire ;
D. Exiger que la Mission des Nations Unies pour l’organisation d’un référendum au Sahara occidental mener des enquêtes approfondies, rapides et immédiates et chercher de manière proactive à parler avec des témoins oculaires, des survivants et des familles des victimes, malgré les restrictions et des difficultés;
E. Inciter le Maroc à reconnaître ces crimes et à respecter pleinement les normes de droit international humanitaire lors de la planification et de l’exécution d’actions militaires et attaques, notamment en reconsidérant les critères de sélection des cibles, comme le stipulent certaines organisations.
F. Tenir le gouvernement espagnol pour responsable d’avoir autorisé le vol de drones marocains